Conseils pour le diabète

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5 astuces pour des desserts magiques antidiabète
C’est décidé, vous ne laisserez plus votre culpabilité et votre crainte du déséquilibre glycémique confisquer votre dessert. Ni ceux de votre tendre mari, de vos charmants bambins, de vos ados affamés, si vous avez toutes ces bouches à nourrir à la maison. Mais comment vous (et leur) faire plaisir tout en restant parfaitement dans “les clous” en cas de diabète ? Voici 5 astuces à garder en tête quand on s’attaque aux desserts magiques antidiabète. Astuce N°1 : Restez simple, naturel Ne vous ruez pas sur toutes les nouveautés. Certaines sont valables, d’autres, bof ! Par exemple, des édulcorants débarquent régulièrement, à grand renfort médiatique, comme la stévia, le xylitol ou autres poudres soi-disant géniales. Pas toujours indispensables, ni bonnes. Vous ne les trouverez d’ailleurs pas dans nos recettes. Restez fidèle au naturel et aux “valeurs sûres” : le sirop d’érable, le miel, ce sont de “vrais” aliments. Les poudres sucrantes, qu’elles soient d’origine (notez bien le “d’origine”) naturelle ou non, n’en sont pas vraiment. Astuce N°2 : Rajoutez des fruits Partout ou presque ! Avec les glaces, le chocolat, les gâteaux, les tartes…. Quand on mange plus de fruits, on mange moins d’autre chose. Astuce N°3 : Jouez sur les textures et les surprises sensorielles Une pincée de graines de pavot, de sésame ou de lin ici (et hop ! des bons gras), un voile de cannelle (la reine de l’équilibre glycémique), quelques amandes effilées ou cerneaux de noix là (du magnésium, des bons gras et des fibres), du son d’avoine dans cette pâte à gâteau et des flocons d’avoine dans cette pâte à biscuits (anticholestérol et coupe-faim), de l’agar-agar (gélifiant minceur) en guise de farine, d’oeuf et de lait…. Ce n’est presque rien, mais ça change tout. Astuce N°4 : Focalisez sur l’IG (index glycémique) L’IG est un outil servant à mesurer l’impact des aliments renfermant des sucres (“lents” ou “rapides”) sur l’organisme. Il permet de distinguer ceux qui obligent le corps à produire beaucoup d’insuline, l’hormone qui fait entrer le sucre dans les cellules. Plus un aliment fait grimper notre taux de sucre dans les cellules. Plus un aliment fait grimper notre taux de sucre dans le sang, plus son IG est élevé, plus nous devons fabriquer d’insuline. Et plus il faut s’en méfier, surtout lorsque l’on est diabétique. Les aliments à IG élevé sont clairement impliqués, sur le long terme, dans l’apparition (et l’aggravation) du diabète, des maladies cardiaques et du surpoids. Ils augmentent le taux de (mauvais) cholestérol et favorisent le stockage des graisses. Tous les aliments contenant du sucre sous une forme ou une autre sont concernés par l’index glycémique, alors évidemment, les desserts sont aux premières loges. Astuce N°5 : soyez civilisé Préparez de jolis desserts, en petites portions, soignez la présentation, on mange autant avec les yeux qu’avec la bouche. Si possible, pas avec les doigts, car alors on engloutit façon Cro-magnon, et, ça, ce n’est jamais bon. Pensez aux repas dans les grands restaurants : toujours des petites portions, mais on n’a jamais faim ensuite. Être rassasié n’est donc pas une question de quantité, mais une question de qualité, de plaisir et de raffinement. Même poser une simple feuille de menthe sur un ramequin peut suffire : l’important est de maîtriser ses pulsions, de se servir calmement, de s’extasier sur le contraste des couleurs même si l’on est seul : “C’est moi qui l’ai fait” (justement ,vous y avez passé un peut de temps, prenez le temps de déguster !). On n’est pas des bêtes. source : mes petits desserts magiques d’anne dufour et carole garnier Nombre de vue 429

Le plaisir c’est la santé – diabète –
L’être humain est physiologiquement conçu pour le plaisir. Nous sommes admirablement équipés pour gérer et traiter les informations multi-sensorielles. Prenons une part de gâteau au chocolat, de fraisier ou une mousse au citron (ou remplacez par votre péché mignon). Imaginez-le, faites-en le tour, observez-le. Humez-le. Croquez-le, enfin. Le goût, l’odorat, le toucher, la vue, l’ouïe même, nous nos sens réunissent une somme d’informations pour nous permettre de l’apprécier pleinement. Tout cela pourquoi ? Parce que le plaisir est vital, tout simplement. Sans gourmandise, on ne penserait pas à manger. Sans plaisir sexuel, l’espèce se serait éteinte depuis longtemps. Sans endorphines euphorisantes, personne n’irait taper dans une balle de tennis ou courir des heures sur une ligne blanche, dans un stade, le sport n’existerait pas. Le plaisir existe car il sert l’organisme, il est au service du corps. A nous de savoir le dompter, de ne pas le laisser nous tyranniser ni imposer sa loi. Pas question de ne manger que du sucré, mais les desserts, c’est dans nos gènes : personne ne peut lutter contre ! On est déjà souvent privé de tout un tas de choses dans la vie, il ne manquerait plus qu’on soit privé de dessert. Le temps de la culpabilité mal placée n’est plus. Le péché de gourmandise est, au contraire, une question de survie. Et puis, d’abord, cela rime à quoi exactement tous ces interdits ? Qu’on ne dévore pas trois parts de tatin à la crème à la fin de chaque repas, tout le monde le conçoit. Mais en quoi une mousse au citron, une panna-cotta légère ou un fraisier “poids plume” mettent votre glycémie ou votre silhouette en péril ? Votre esprit critique et affûté perçoit de lui-même la différence et se refuse à diaboliser une innocente petite bouchée, fût-elle sucrée. Et le meilleur des plaisirs étant celui que l’on partage, faites-en profiter vos proches, vos amis. On a tous droit à quelques grammes de douceur dans ce monde de brutes. La gourmandise selon les français Quand il s’agit de manger, les français ne font rien comme les autres. Et même si d’autres pays proposent de remarquables cuisines, le monde entier continue d’envier nos chefs, notamment nos pâtissiers. Dans l’hexagone, la gourmandise est érigée au niveau de patrimoine culinaire ! Les français la considèrent comme “mi-ange mi-démon”. Elle est symbolisée par “le sucré”, “le chocolat”, “se faire plaisir”, “la tarte aux pommes”, “les gâteaux”. Des plaisirs simples mais divins. Le plaisir, c’est la minceur 100% des nutritionnistes sont d’accord (pour une fois) : aucun régime n’est envisageable sans plaisir. Aucun. Exprimé autrement : 100% des régimes échouent si l’on s’interdit tout plaisir. Il est rigoureusement impossible de perdre du poids (et de rester mince) en se privant systématiquement des douceurs. Car un jour vient, inexorable, où la somme des frustrations accumulées, repas après repas, est plus forte. On craque et on avale n’importe quoi, en énormes quantités, on rajoute une couche de culpabilité, on met le tout au four pour gratiner. La parfaite combinaison minceur perdante. Au contraire, profiter des petits plaisirs sucrés, en maîtrisant parfaitement les apports caloriques et en jouant sur les textures, les ingrédients et les arômes 100% naturels, est la seule et unique façon de retrouver la ligne et de la garder. En complément d’une alimentation équilibrée, bien entendu. Parce que c’est bien joli de dire “terminez votre repas par un yaourt ou un fruit”, mais au bout de quinze jours, on a des envies de paris-brest, de quatre-quarts baignant dans la crème anglaise, de crème au beurre. Alors qu’en s’octroyant régulièrement une part de Gâteau aux abricots et au son d’avoine, un Trifle aux fraises, des chips de pomme, une crème onctueuse au chocolat, les sens sont comblés, vous aussi. Aucun risque de dérapage pantagruélique pour se venger. 40 desserts qui tuent Il y a quelques temps, le Daly Best listait les 40 desserts américains les plus mortels (les plus caloriques, riches en mauvaises graisses, sel et sucre) proposés au restaurant ou au fast-food. Super-interdits aux diabétiques, et plus que déconseillés à tout le monde en fait ! Voici les gagnants. le cookie aux pépites de chocolat avec glace + chantilly, dont la part culmine quand même à 1660 calories, 50 g de graisses saturées (celles qui bouchent les artères), 1020 mg de sodium (le sel, dont il faut aussi absolument maîtriser la consommation lorsqu’on est diabétique), et 224 g de sucre (idem bien sûr) Monstrueux ! Le cheesecake ‘New York” avec sa sauce caramel (1650 calories, 54 g de graisses saturées, 980 mg de sodium, 179 g de sucre). Même exceptionnellement, évitez ce genre d’aberration. Le gâteau au chocolat nappé (1580 calories, 24 g de graisses saturées, 1420 mg de sodium, 147 g de sucre). Sans commentaire non plus Bien sûr, une ribambelle d’autres mauvais élèves se bousculent aussi au portillon pour figurer dans cette “liste du pire”. Sans surprise, ce palmarès fatal inclut le classique brownie, un dessert à la pomme avec accompagnement croustillant (type crumble) et à l’amaretto, des blondies au beurre, des glaces pantagruéliques recouvertes de toppings divers et variés, des zepoles (biscuits à la ricotta), des tartes au chocolat, un brownie + sunday, des gâteaux au chocolat blanc (ou de toutes les couleurs), le “simple” cookie, le “simple” cheesecake à la framboise, un horrible gâteau au beurre de cacahuètes et chocolats en déco, une tarte aux noix de pécan et chocolat, un gâteau à la carotte, toute une panoplie de desserts de chez Wendys et autres Mc Fleury aux M&M’s ( ou autres toppings) de chez Mc Donald’s, les churros (oui, les mêmes que dans les fêtes foraines chez nous). En plus, servis en portions orgiaques, bien sûr. Si dans l’hexagone nous n’es sommes pas encore “là” (sauf dans certaines enseignes déjà), nos profiteroles, nos babas au rhum et autres bûches de Noël à la crème au beurre ne brillent certainement pas par leur supériorité nutritionnelle. Alors se faire plaisir, oui, mais pas à n’importe quel prix ! Moins de gras, moins de sucre…. Plus de bonheur ! Lorsque l’on feuillette les livres de pâtisserie d’il y a vingt ou trente ans, on est frappé par la teneur en sucre, en graisses, en jaunes d’œufs de la plupart des recettes. Et vous reprendrez bien une louche de crème anglaise ou de frangipane ? Le moins qu’on puisse dire est que, à l’époque, les préoccupations hormonales, la minceur et la cuisine sucrée faisaient trois. Pas étonnant que les médecins interdisaient à leurs patients diabétiques tout dessert, c’était une catastrophe. Si l’on voulait maigrir, on se mettait à la diète, un point c’est tout. heureusement, les temps changent ! Aujourd’hui, on a le droit d’être gourmand ET de faire attention à sa ligne ET de faire le plein d’antioxydants, de vitamines, de minéraux. Il suffit d’alléger ses classiques, de revisiter les recettes, de retirer un jaune d’œuf ici, de réduire drastiquement et même remplacer le sucre là, et le tour est joué. Pour autant, pas question de rogner d’un iota sur la satisfaction gustative. Un dessert léger, oui ; insipide, certainement pas ! source : mes petits desserts magiques de anne dufour et carole garnier Nombre de vue 769

De vraies bombes caloriques
Sans grande activité corporelle, le besoin journalier en graisse se situe entre 60 et 80 g de graisse. Mais le citoyen normal en mange en moyenne 100 g par jour. Les graisses “cachées” en représentent déjà 50%, ce qui veut dire qu’il y a largement la possibilité d’en éliminer de son alimentation mais il faut savoir où. Les graisses se cachent souvent dans des aliments que l’on croit anodins, qu’on avale debout, comme, par exemple, un petit chocolat, un biscuit, quelques chips ou des cacahuètes, ou la dernière tranche de fromage ou de jambon prise sur le pouce. Si vous vous habituez à refuser, vous éviterez un supplément insignifiant de 10 g de gras et donc de 90 kcal. En faisant vos courses, faites bien attention à la teneur en graisses de la viande et de la charcuterie, du lait et des produits laitiers, particulièrement du fromage. Les exemples du tableau suivant vous montrent la quantité de gras réduite si vous choisissez les bons aliments. Aliments défavorables Teneur en graisse en g Aliments favorables Teneur en graisse en g 100 g flanc de porc 40 100 g steak de porc 6 100 g cuisse d’oie 30 100 g blanc de dinde 1 50 g de salami 25 50 g jambon cuit 7 1/2 l lait entier 18 1/2 l lait écrémé, 1,5% MG 8 50 g fromage, 50% MG /MS 17 50 g fromage, 3,5% MG/MS 8 150 g anguille 42 150 g cabillaud 1 Somme 172 somme 31 Sucreries en quantité modérée Les citoyens des pays industrialisés mangent définitivement trop de sucreries et trouvent très difficile de renoncer à tout ce qui est sucré. Le changement des habitudes culinaires sera plus facile si vous renoncez tranche après tranche. Renoncez sciemment à toutes les gourmandises et limonades contenant du sucre. Privilégiez les fruits, buvez des jus de fruits dilués dans de l’eau, grignotez plutôt une biscotte de blé complet qu’une biscotte avec de la confiture. Avec le temps, les aliments très sucrés ne vont plus être à votre goût. Si vous aimez le café ou le thé sucré, vous pouvez prendre de l’édulcorant. De cette manière vous pouvez réduire la teneur en sucres de moitié de certains desserts en rajoutant de l’édulcorant. En petites quantités, vous pouvez toujours continuer de manger des sucreries sans avoir mauvaise conscience. Elles appartiennent simplement à notre quotidien. Un verre d’alcool de temps en temps… Même si on lit de temps en temps dans les revues que l’alcool est bon pour le cœur et baisse le taux de cholestérol LDL, il est à consommer avec modération. L’alcool a aussi un côté négatif. Il est riche en calories : 1 g d’alcool contient environ 7 calories (30 kj). Cela signifie qu’un verre (2 cl) d’eau de vie (38% de volume) fournit 43 calories. Le verre de bière ou de vin le soir fait grossir aussi. Même si on dit souvent que le vin rouge est bon pour les maladies cardiovasculaires, une consommation en grande quantité est plus nuisible qu’utile : une grande consommation de vin augmente le risque d’une cirrhose du foie [destruction des cellules]. Croire qu’il suffit de boire un verre de vin par jour suffit pour se protéger d’un infarctus est faux mais il est souvent trop tard quand on s’en aperçoit. Si vous avez une alimentation variée, que vous pratiquez du sport, rien ne s’oppose à ce que vous buviez un verre de vin ou de bière de temps en temps. Plusieurs conseils pratiques pour réduire la graisse et le cholestérol En cuisinant, il est assez facile de réduire la graisse sans perdre le goût. Mais il faut être prêt à le faire. Voici quelques conseils : mangez moins de produits animaux en faisant les courses, faites attention aux graisses “cachées” (par ex. dans les sucreries, aliments à grignoter, plats préparés, gâteaux et biscuits, charcuterie, fromages) utilisez des poêles, des casseroles et des moules revêtus. Il suffit en général de les badigeonner avec de l’huile. les sacs de cuisson et les casseroles en argile sont parfaits pour la cuisine à l’étuvée sans trop de gras ou la cuisine en papillote des viandes et des légumes. Remplacez la crème et la crème fraîche par de la crème aigre et la crème de soja maigre. Renoncez aux fritures et aliments panés. cuisinez beaucoup dans un wok, c’est rapide et sain vos gratins seront plus pauvres en gras et cholestérol si vous remplacez le fromage par de la chapelure et des herbes. Utilisez toujours des produits laitiers écrémés : lait et yaourt à 1,5% MG, fromage blanc à 0% MG et fromages avec moins de 45% MG dans la matière sèche Sur votre pain, remplacez charcuterie grasse par toutes sortes d’aspic, de corned-beef, de viande froide, de charcuterie de volaille, de jambon. N’oubliez pas d’ôter la couenne du jambon. Utilisez parcimonieusement le jaune d’œuf ou même renoncez-y en n’utilisant que le blanc. Mangez tous les jours 5 portions de fruits et légumes, crus ou étuvés. Ainsi, vous n’avez pas seulement des vitamines et des minéraux en masse mais vous augmentez aussi le pourcentage d’aliments maigres de votre menu. Si chaque repas contient des fruits et légumes, ils deviendront plus maigres et plus sains. source : pour les diabétiques Nombre de vue 626

L’alternative sucrée
S’il y a longtemps que l’interdiction de “manger du sucre” a disparu, il est conseillé aux diabétiques de ne pas en abuser. Ils peuvent consommer au maximum 50 g de sucre par jour avec les plats ingérés. Le café ou le thé sont à prendre sans sucre ; une limonade sucrée contient des calories sans apport nutritionnel qui font monter sans nécessité le taux de glycémie. Les édulcorants constituent une alternative au sucre : ils n’apportent pratiquement aucune énergie, sont dénués de glucides et ne sont donc pas à prendre en compte. Comme les édulcorants ont un pouvoir sucrant nettement plus élevé que le sucre, ils ne s’utilisent qu’à très petites doses. Quelques gouttes suffisent déjà à sucrer tout un dessert. Aujourd’hui, l’utilisation de succédanés du sucre n’est toutefois plus recommandée pour l’alimentation des personnes diabétiques. Ils renferment une quantité de calories et de glucides comparable à celles du sucre, causent souvent des problèmes de digestion s’ils sont consommés en grandes quantités et peuvent affecter négativement le métabolisme. source : pour les diabétiques Nombre de vue 427

L’indice glycémique – une notion importante
En raison de leur composition différente, des aliments présentant la même teneur en glucides peuvent entraîner une hausse plus ou moins rapide et, en conséquence, plus ou moins forte, du taux de glycémie. C’est l’influence des aliments sur le taux de sucre du sang qui s’appelle indice glycémique. Le glucose, dont l’indice est fixé à 100 C, sert de base à son calcul. Il permet de comparer le pouvoir glycémiant des autres aliments. Plus l’indice glycémique d’un aliment est faible, plus la hausse du taux de glycémie est lente. Une progression lente est recommandée pour les diabétiques, qui doivent par contre éviter une hausse importante et rapide. Indice glycémique de différents aliments d’une même catégorie alimentaire Elevé Moyen faible pain blanc pain de seigle Pain complet purée de pomme de terre pommes de terre en robe des champs et fromage blanc pommes de terre en robe des champs, légumes et fromage blanc petit pain blanc petit pain aux graines petit pain complet riz minute riz pré-cuit riz nature jus d’orange milk shake non sucré aux fraises babeurre yaourt aux fruits yaourt de régime aux fruits yaourt nature jus de tomate salade de tomates et mozzarelle Les aliments complets, les légumineuses et les légumes ont un indice glycémique très bas, car ils contiennent beaucoup de fibres alimentaires et peu de glucides rapides, qui sont résorbés rapidement. Par contre, le jus d’orange, les boissons sucrées, les céréales de petit-déjeuner et le pain de mie ont un indice élevé : la proportion de glucides résorbés rapidement est importante tandis que celle des fibres est faible. L’indice glycémique n’est cependant pas une grandeur fixe. Une tranche de pain tartinée de beurre et de fromage a un indice glycémique plus faible qu’une tranche de pain seule. Cela tient aux lipides du beurre et du fromage. En effet, dans le cas d’aliments contenant des glucides, les graisses (toujours consommées avec modération !) freinent la hausse du taux de glycémie par rapport à ce qui se passe quand les aliments sont mangés “seul”. source pour les diabétiques Nombre de vue 451

Les substituts du sucre
Sirop d’orge malté ou malt d’orge Édulcorant fabriqué avec des grains d’orge germés (maltés), de la même manière que le sirop de riz brun. Il se présente sous la forme d’un sirop brun foncé, non raffiné, épais et collant. Il possède un goût malté particulier, mais n’est pas aussi sucré que le miel ou le sucre blanc. Il a une teneur faible en glucose, en fructose et en sucrose. Il est vendu dans les magasins d’alimentation biologique. Sirop de riz brun (malté) Le sirop de riz brun est préparé en faisant fermenter de la farine de riz brun avec des enzymes, afin de transformer l’amidon en sucres. La préparation est ensuite filtrée afin de retirer toute l’eau et d’obtenir un sirop épais, au goût sucré. Vous le trouverez dans les magasins d’alimentation biologique et les supermarchés. Il ne contient pas de fructose et c’est un produit de remplacement végan du miel. Edulcorant de fruit du moine Le fruit du moine est une sorte de melon subtropical cultivé en Asie du Sud-Est depuis plusieurs siècles. Il contient un groupe d’antioxydants au goût sucré. Comme pour la stévia, ces éléments apportent un goût sucré, sans calories. Le sucre issu du fruit du moine contient 96% de calories en moins que le sucre blanc, et il n’affecte pas la glycémie ou le taux d’insuline. Cet édulcorant n’est pas vendu en France actuellement. Miel (cru) Le miel est le sucre le plus naturel qui soit. Comme les abeilles le fabriquent à partir du nectar des fleurs, la flore environnante a une influence sur son goût. Les miels de fleurs purs ont un index glycémique (IG) faible, alors que les miels issus de mélanges (moins chers) ont tendance à avoir un IG élevé. Si vous souhaitez un miel à IG faible, achetez de préférence du miel d’acacia. Sirop d’agave Le sirop d’agave est un édulcorant produit à partir de l’agave, une variété de succulente aux feuilles épaisses et charnues, originaire du Mexique et d’Afrique du Sud. Il possède un IG faible en raison de sa forte teneur en fructose, qui peut être dangereux lorsqu’il est consommé en grandes quantités. Plus sucré et un peu plus liquide que le miel, c’est un produit de remplacement végan du miel. Stévia La stévia est un édulcorant naturel. Elle est fabriquée à partir des feuilles d’une plante, mais elle est difficile à trouver sous sa forme traditionnelle. Elle est transformée et vendue sous forme de poudre blanche, à utiliser de la même manière que le sucre, un produit extrêmement raffiné. Elle a un effet très réduit sur le taux de glucose sanguin. Comme elle n’apporte aucune calorie, elle peut constituer un bon moyen de réduire votre consommation de sucre. Sirop d’érable pur Le sirop d’érable pur est obtenu par concentration de la sève de l’érable, à la différence du sirop parfumé à l’érable qui est un sirop de glucose transformé auquel on a ajouté des parfums. Le véritable sirop d’érable est bien plus parfumé et contient de nombreux nutriments et antioxydants. Avec son IG faible, il est idéal pour les personnes qui doivent contrôler leur glycémie. Sucre de coco Le sucre de coco n’est pas élaboré à partir de la chair de noix de coco, mais de la sève des fleurs de cocotiers. Celle-ci est récoltée puis bouillie afin de faire évaporer l’eau qu’elle contient, pour ne garder que le sucre, qui ressemble à du sucre brut ou de la vergeoise. Il a le même petit goût de caramel. Il apporte le même nombre de calories que le sucre blanc. source : pour les diabétiques Nombre de vue 1 910