Par où commencer ?

Le véganisme (conseils et recettes)

Les raisons qui expliquent pourquoi le véganisme est meilleur pour la terre

Les raisons qui expliquent pourquoi le véganisme est meilleur pour la terre

Pour l’environnement.   Il y a une panoplie d’études qui démontre que la consommation des produits animaux est aussi néfaste pour l’environnement (pas seulement la viande) que tous les modes de transports confondus. L’ONU, entre autres organismes, publie des recherches à ce sujet. Donc, pour être en ligne avec ses propres valeurs, celles et ceux qui veulent protéger l’environnement réduisent grandement leur empreinte écologique en devenant végétalien. Ceci étant dit, voici les détails pour appuyer cet énoncé. L’espace : La quantité phénoménale de terrain requis pour élever des animaux est une des causes principales du dommage fait à l’environnement à cause des produits animaux. En premier lieu, on a besoin d’espace pour loger ces animaux. Parfois, ils sont libres de courir dans les champs, ce qui requiert encore plus de place. Par la suite, on a besoin de les nourrir, évidemment, alors il faut faire pousser les grains qui vont leur servir pour les alimenter, ce qui nécessite un champ pour les cultiver. Ces champs, soit dit en passant, pourraient servir pour alimenter les humains, mais puisque c’est la viande qui est prisée, on s’attarde à encourager ce produit. En plus, on a besoin entre 10 et 16 kilos de grains pour fabriquer un seul kilo de bœuf, ce qui démontre combien ce n’est pas logique (ni durable) de produire cet aliment pour les humains. Quoique la quantité pour le poulet et le porc est moindre, il faut quand même plus de grains pour produire moins de viande. Il va sans dire que c’est un manque de justice sociale de produire aussi peu de viande, qui coûte plus cher que les grains, pour nourrir moins de personnes. Ensuite, on utilise souvent des terres arables pour élever les animaux au lieu de faire pousser des fruits et des légumes (car souvent, les fermes produisent plus d’un aliment à la fois, comme les fermes laitières qui font aussi pousser du blé et ont des érablières), et quand la ferme doit fermer, la partie de la terre qui servait pour les animaux ne peut plus servir pour faire pousser quoi que ce soit parce qu’elle est endommagée. De plus, en ce moment, puisqu’il n’y a plus beaucoup de terres arables pour ces grains, on doit couper des quantités énormes d’arbres pour faire place aux monocultures de soya et de maïs, ce qui fait en sorte que le gaz carbonique qui était emmagasiné s’échappe et se dirige dans l’atmosphère. Ces arbres sont aussi utiles pour aider à rafraîchir la terre et la maintenir humide, elles deviennent donc sèches et inutilisables après seulement quelques années. Les forêts touchées sont souvent vierges et anciennes, comme l’Amazonie, et c’est difficile de rétablir une telle forêt. (Même si les compagnies qui font les coupes disent qu’elles replantent des arbres, ce n’est pas suffisant, car une forêt, c’est un écosystème complexe et il n’y a pas que des arbres-là. Ensuite, que se passe-t-il aux animaux qui habitaient dans cet endroit ? Ils perdent leur demeure). La pollution de l’air : Le méthane. Oui, les animaux de ferme créent beaucoup de ce gaz qui est, en fait, néfaste pour l’atmosphère. On pourrait éviter d’en produire autant en arrêtant de forcer ces animaux à se reproduire pour nous en mangeant un régime à base de plantes. Sinon, il y a d’autres faits importants à considérer. Entre autres choses, la viande voyage beaucoup pour se rendre de l’endroit où les animaux naissent jusqu’à vos assiettes. On les enlève de leur mère (ce qui est douloureux pour elle), pour les amener à l’endroit où ils seront élevés, pour se faire transporter vers l’abattoir, pour se faire envoyer à l’emplacement où l’on se met à les couper en grandes pièces, pour qu’elles soient envoyées dans la boucherie, pour se rendre au centre de distribution, pour ensuite arriver enfin à l’épicerie. Bref, comme vous pouvez le voir, ces “aliments” voyagent beaucoup trop. Les fruits et les légumes voyagent amplement aussi, mais beaucoup moins, car on n’a pas besoin de trois différents endroits pour les produire et les “tuer” avant de les envoyer au distributeur. En plus, comme si ce n’était pas suffisant, les parties des animaux que l’on aurait normalement jetés sont parfois achetés par d’autres compagnies, comme les os (savez-vous comment on fabrique du Jell-O et des guimauves). Donc, encore du transport ! De plus, pas besoin de dire que les fruits et les légumes sont plus faciles à transporter que des animaux vivants. En mangeant un régime à base de plantes, on réduit considérablement ce type de pollution, car nos aliments ne sont pas transportés autant, tout en étant plus simples à transporter. L’eau : Des quantités énormes d’eau sont nécessaires pour produire des aliments qui proviennent des animaux, ce qui pourrait en surprendre plus d’un. En premier lieu, il faut donner à boire à ces pauvres bêtes. Occasionnellement, certains fermiers leur donnent des bains. Par la suite, il ne faut pas oublier qu’elles mangent, et il faut arroser l’énorme quantité de grains qu’elles ont besoin de consommer. Ensuite, il faut nettoyer les emplacements où elles sont élevées. Mais, ce qui nécessite le plus de ce liquide précieux, c’est quand vient le temps d’abattre ces animaux. Certains abattoirs se servent d’eau bouillante pour les tuer, mais il faut aussi enlever la peau, nettoyer les carcasses, et laver l’abattoir. De plus, il ne faut pas oublier que ces animaux produisent des déchets corporels et souvent, ils se retrouvent dans un cours d’eau non loin de la ferme, ou ils réussissent à pénétrer le sol et empoisonner la terre et l’eau qui s’y trouve. Ce qui endommage aussi les cours d’eau est le type de produits chimiques utilisé pour chaque étape de la production, surtout pour désinfecter les lieux.     Nombre de vue 689

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Un régime à base de plantes meilleur pour notre corps

Un régime à base de plantes meilleur pour notre corps

Maintenant pour nous : les raisons pour lesquelles un régime à base de plantes sont meilleur pour notre corps (une étape cruciale pour réduire nos problèmes de santé) Une panoplie de gens écoute maintenant une médecin végane qui leur dit de changer leur alimentation et devenir végétalien. De nos jours, de plus en plus de ces médecins se rendent compte à quel point les humains se sont trompés pendant toutes ces années en découvrant amplement d’études et de recherches scientifiques qui démontrent les avantages de ce type de régime. C’est, en fait, une des raisons principales pour lesquelles autant de vedettes choisissent de ne manger que des plantes. Non seulement elles réduisent grandement leurs risques de développer un éventail important de maladies, mais c’est beaucoup plus facile de maintenir un corps svelte de cette manière. Les gras qui proviennent des plantes sont plus facilement digérés par notre estomac et nous endommagent moins que le gras animal. Vous pouvez faire la recherche de quelques-uns de ces artistes et découvrir ce qui a motivé chacun d’entre eux. On vous le dit, c’est sûr, mais ne vous fiez pas seulement aux écrits. Vérifiez vous-mêmes les informations que l’on vous donne. Non seulement vous allez en découvrir plus, mais vous serez aussi satisfaits que ce que l’on dit est vrai. Il y a tellement de mensonges dans le monde de l’alimentation de la part de ceux qui ont un intérêt financier dans les ventes d’un produit, qui, en fait, endommage notre santé, en plus des compagnies pharmaceutiques qui veulent gagner de l’argent en nous maintenant malades, que ça peut devenir difficile de savoir ce qui est juste. C’est pour cette raison que l’on tient à vous éduquer non seulement au sujet du véganisme, mais aussi au sujet de la corruption et la cupidité des entreprises. En plus, en devenant végétalien, on n’a pas de choix en ce qui a trait aux protéines : il faut qu’elles proviennent des plantes, et ce sont celles qui sont les meilleures pour notre santé. On finit donc par manger plus de légumes, comme des légumineuses et des feuillus verts. De cette façon, on ingère plus de vitamines et de minéraux, car c’est de là que l’on reçoit la plus importante quantité de ces éléments nutritifs. Certes, il ne faut pas penser que devenir végétalien nous rend automatiquement en meilleure santé. Plusieurs aliments qui sont sans produits animaux -souvent par accident- peuvent contenir une quantité de sucre et de gras incroyable, comme les biscuits Oreos, les frites, et les desserts végétaliens (comme les brownies et des cupcakes). Alors, ça veut dire qu’il faut tout de même faire l’effort de manger mieux. Mais, si l’on ne mange aucune graisse animale, on finit par faire un grand service à notre corps, car ce sont les types de gras qui sont les plus néfastes à notre santé. Fréquemment, les végétaliens perdent un peu de poids seulement en adoptant ce changement dans leur régime. Dans certains cas, ce sont les médecins qui vont suggérer un régime végétalien. Quand ils sont au courant des problèmes causés par les produits animaux dans notre alimentation, ils avisent leurs patients d’adopter ce régime pour éviter les maladies cardio-vasculaires, entre autres. Ce n’est pas encore la norme, mais en ce moment, il y a de plus en plus de docteurs qui recommandent ce type d’alimentation. Le nombre augmente doucement, mais sûrement. De nos jours, de plus en plus de médecins encouragent leurs patients de manger plus de fruits et de légumes, chose qui ne se faisait pas, il y a quelques années. La majorité disait aux gens de consommer des produits animaux, car la plupart croyaient que c’est ce qu’il y a de mieux pour notre santé. Ils disaient tout de même qu’il fallait consommer des fruits et des légumes -On ne dit pas le contraire- mais ces aliments étaient sous-estimés quand il s’agit de leur valeur nutritive. Quand il s’agit de la source de la recherche, ils ne se fient plus seulement aux statistiques trouvées et se mettent à vérifier la source des fonds qui ont payé le chercheur. Souvent, des conflits d’intérêts sont visibles et quand on élimine toutes les études où l’on trouve un de ces conflits, on se rend compte que ce ne sont pas les produits animaux qui sont meilleurs pour notre santé. Si vous n’êtes pas convaincus, faites les recherches vous-mêmes et comparez les faits. Il y a des films qui disent aux gens de vérifier les informations, comme “forks over knives” et “what the health”. Ouvrez vos yeux et regardez ce que les médias essaient de vous faire croire. On pourrait facilement noter toutes les références pour chaque fait que l’on vous donne dans ce site. Cependant, une réponse que les gens nous répètent est qu’ils peuvent simplement trouver des preuves qui contredisent les sources. C’est certain que l’on peut trouver un argument pour contrer tout ce que l’on trouve, mais ce que nous essayons de vous expliquer, c’est que l’on doit aussi s’assurer qu’il soit légitime. Si vous voulez savoir qui désire sincèrement vous voir en bonne santé, penchez-vous sur les compagnies qui profitent d’un corps sans maladies : les compagnies d’assurances-santé et d’assurances-maladies, surtout celles dans des pays où il n’y a pas de système de santé universel, comme aux États-Unis. Ces compagnies vous encouragent de manger un régime à base de plantes parce que c’est véritablement ce qu’il y a de mieux pour nous. Ce sont aussi des compagnies qui sont reconnues pour causer des scandales, car elles tentent de faire le plus d’argent possible en ne payant pas toujours les soins qu’elles devraient, et la quantité de poursuites contre elles sont incroyables. Nous ne disons pas que c’est bien, mais ça démontre ce qu’elles sont prêtes à faire pour réaliser des profits. Alors, si elles veulent vous voir en santé et si elles n’ont pas envie de payer pour vos frais d’hôpitaux et de médicaments, pourquoi disent-elles à leurs clients de se nourrir d’un régime végétalien ? Si c’était vrai que la viande, les œufs et les produits laitiers étaient meilleurs pour nous, elles seraient bien les premières à l’annoncer ! Maintenant, de l’autre côté, qui profite le plus de vous voir malades ? Les compagnies pharmaceutiques, bien sûr ! Qu’est-ce qu’elles nous recommandent de manger, entre autres par l’entremise des docteurs ? Des produits provenant des animaux. On voit aussi plusieurs personnes qui ont des diplômes en sciences de la santé, en médecine ou en biologie, qui déclarent qu’un régime végétalien est ce qu’il y a de mieux, mais font tout pour décimer les arguments des personnalités qui en font la promotion. Prenons, par exemple, le film “what the health”. Il y a une panoplie de soi-disant “spécialistes” qui ont fait des analyses des recherches qui ont servi comme source pour les arguments présentés dans le film. Leurs contre-arguments sont souvent lamentables et l’on peut bien se poser cette question : si ces spécialistes végétaliens croient que manger seulement des plantes est meilleur pour la santé, quelles sont les recherches qu’ils appuient ? Eh bien, ils ne répondent pas. Ils n’ont rien pour appuyer leur véganisme, et donc paraissent douteux. Sont-ils véritablement végétaliens, ou sont-ils des fraudes qui cherchent à confondre le peuple ? Ce n’est rien de nouveau que les lobbyistes de certaines compagnies fassent semblant de faire partie du groupe qu’ils attaquent en cherchant à semer le doute. On rencontre fréquemment de ces “faux-végane”, ce qui nous convainc encore plus de lutter contre les mensonges de ces compagnies – les pharmaceutiques et les entreprises qui vendent des produits animaux. De plus, certains vont même aller aussi loin que dire que la viande est réellement bonne pour la santé et que l’on devrait, en fait, en manger plus, ou ils disent tout simplement que ce n’est pas si mauvais que ça pour nous. Ceci étant dit, les faits changent aussi pour soutenir leurs “arguments”. Par exemple, quand il s’agit du régime paléolithique, tout d’un coup, les humains mangent de la viande depuis beaucoup plus longtemps que l’on croyait, et l’on se servait du feu pour cuire nos aliments bien avant ce que les archéologues ont découvert au courant des dernières décennies. Si l’histoire change tout à coup pour accommoder un régime alimentaire, il y a un problème sérieux. De toute manière, les études démontrent bien que l’on atteint une santé optimale en ne mangeant que des plantes -surtout crues- et que les produits animaux nuisent plus qu’ils n’aident.   Nombre de vue 535

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Les raisons du véganisme

Les raisons du véganisme

Les raisons pour lesquelles le véganisme est le meilleur choix pour tous les êtres vivants sur la planète La raison principale pour devenir végétalien : les droits des animaux Les opinions qui expliquent pourquoi on devrait adopter un régime à base de plantes, en plus de vivre un style de vie sans cruauté, divergent d’une personne à l’autre. Quoique certains disent que l’on voit de plus en plus de gens devenir végétaliens, d’autres se plaignent que trop peu de celles et ceux qui adoptent ce régime le font pour la bonne raison. Certes, voir tout le monde changer leur mode de vie au complet serait idéal ; après tout, ce ne sont pas seulement que les animaux de ferme qui souffrent un martyre incroyable. Donc, une partie de la population végane le fait pour eux. Et, ils ont tout à fait raison. Voyez-vous, certaines personnes qui deviennent végétariennes le font pour ne pas nuire à leur karma. En effet, tuer, c’est mal, surtout si l’on peut se nourrir adéquatement (voire mieux) sans viande. D’autres pensent que la souffrance animale se limite à ceux qui doivent mourir pour nous parce qu’ils n’aiment pas les forcer à faire un tel sacrifice. C’est sûr que l’on ne peut pas nier que tuer est à éviter, mais qu’en est-il des autres sortes de souffrances ? Prenez, par exemple, le concept de l’élevage. On force les animaux à se reproduire pour notre bien ,et souvent (presque toujours) on le fait pour recevoir des bénéfices financiers ou un revenu quelconque. on ne le fait pas seulement pour produire du poulet et du bœuf, pour consommer un repas, mais aussi pour recevoir des œufs, du lait et du miel. Ces pauvres bêtes passent leurs vies entières enfermées dans des cages trop petites pour elles, fréquemment sans pouvoir bouger, et parfois qui leur blessent les pattes. Elles reçoivent moins de nourriture que ce qu’elles ont besoin et ne mangent pas ce que leur système digestif est en mesure de traiter. Leur socialisation se limite au temps passé dans la même cage qu’une autre aussi malheureuse qu’elle ou en tant que voisine, et puisqu’elles ne peuvent pas vraiment jouer ensemble comme elles le feraient dans la nature, elles finissent de temps en temps par se battre dû à la frustration qui vient avec le manque de liberté. Certaines en deviennent même folles. Avoir vécu dans l’environnement approprié à leur espèce, elles auraient chassé ou consommé les aliments qui leur conviennent, couru, volé et socialisé normalement. En fait, les garder et les maintenir enfermées font d’elles des esclaves, même si on les traite le mieux possible et elles semblent heureuses. Leur vraie place, leur habitat véridique, c’est dans un endroit sauvage, et non dans un enclos ou une cage, à notre service, sous notre emprise et notre domination. Même si l’on ne les tue pas, elles nous “appartiennent” et un autre être vivant ne peut pas avoir le même statut qu’un meuble ou une propriété. De plus, on ne les emprisonne pas seulement pour en faire notre nourriture. Il y a parfois plus d’une raison pour s’en servir et les garder en cage. Par contre, la plupart des industries ne se préoccupent que d’un seul objectif chacune. Pour ce qui en est des manières d’en profiter, il y a, entre autres choses, l’industrie du textile et des vêtements (le cuir, la fourrure, la laine et la soie) ; les pharmaceutiques (les tests en laboratoires qui, soit dit en passant, ne servent pas puisque les humains ne réagissent pas de la même manière aux médicaments que les animaux). Les produits de beauté (autant les ingrédients que les tests en laboratoire) ; les zoos où ils sont supposés être enfermés pour éduquer le public (encore une fois, le but n’est pas atteint) ; les cirques, qui doivent les battre pour les brimer assez pour qu’ils se soumettent à l’entraîneur ; les producteurs d’animaux de compagnie, comme les chiens et les chats, où les mêmes parents sont enfermés dans de petites cages sales, nourris beaucoup moins que ce qu’ils ont besoin, ne reçoivent pas de traitement vétérinaire et que les mamans donnent naissance tellement souvent qu’elles en deviennent épuisées (physiquement et mentalement) ; les animaux qui travaillent sur une ferme, comme les chevaux qui sont battus pour les soumettre ; les chevaux de course, qui sont jetés ou vendus dès qu’ils ne font plus de profits pour leur propriétaire ; et ainsi de suite. La liste pourrait continuer longtemps. Nombre de vue 708

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Solutions vegan

Solutions végan

Si vous cherchez des substituts des produits d’origine animale pour cuisiner, il existe une foule d’aliments de base. À vous d’explorer, d’expérimenter ce qui vous convient le mieux selon les cas. Lait Une multitude de laits sans lactose sont disponibles frais ou en longue conservation, parmi lesquels les laits de soja, d’amande, de noisette, de coco, de riz et d’avoine. Le choix se fait selon les goûts et préférences de chacun, et en fonction des allergies, par exemple l’allergie aux fruits à coque Certains laits végétaux sont sucrés et d’autres non, vérifiez bien l’étiquette avant de les acheter. Si la mention “non sucrée” est absente sur l’emballage, il s’agit alors probablement de lait sucré. Le lait de coco, avec son goût délicat, est idéal pour faire du riz au lait ainsi que pour les currys crémeux. Le lait de riz est un des laits les plus fins, avec un goût léger ; il est idéal pour être versé sur des céréales et pour faire le café, mais c’est aussi le moins stable lorsqu’il est chauffé. Les laits de fruits à coque, de soja et d’avoine sont bons pour la pâtisserie et la cuisine. Ils apportent de l’onctuosité aux muffins, aux gâteaux et aux sauces. Crème La crème sans lait est généralement faite à base de soja, d’avoine, de coco ou de fruits à coque. Comme pour les versions des laits, les crèmes végétales sont plus riches que les laits. Elles sont aussi bonnes pour les desserts que pour les sauces salées crémeuses et douces pour les pâtes, les tartes, la crème anglaise et les glaces. Fromage Faits à partir de mélanges de fécule de pomme de terre, d’huile végétale et de protéines de soja, les fromages sans lait sont disponibles sous forme de fromage à tartiner, de mozzarella, de cheddar, de parmesan et d’édam. Le fromage râpé végan est très pratique à parsemer sur les pizzas, les gratins de pâtes et les pommes de terre en robe des champs. Les fromages sans lait sont encore difficiles à trouver dans les supermarchés, un tour s’impose dans les boutiques bio ou sur les sites de vente en ligne pour pouvoir les acheter. Matières grasses de cuisson et huiles Le petit-lait et le lait fermenté sont souvent utilisés dans les pâtes à tartiner à base d’huile d’olive et d’huile de tournesol. Donc, vérifiez bien qu’elles sont totalement sans produits laitiers avant de les acheter. L’huile de coco vierge, qui est à l’état solide lorsqu’elle est à température ambiante, est une huile très bonne pour la santé lorsqu’elle est utilisée pour la pâtisserie et pour les fritures. L’huile d’olive extra vierge et l’huile d’avocat sont délicieuses pour arroser les légumes grillés et pour faire les vinaigrettes. Yaourt Le yaourt de soja est le yaourt sans lait le plus largement répandu, nature ou aromatisé à la vanille et aux fruits. Le yaourt de soja nature est parfait pour napper le granola au petit déjeuner ou pour faire des sauces salées telles que le tzatziki à l’ail, à la menthe et au concombre, à servir en en-cas avec des bâtonnets de légumes ou du pain pita complet ou avec des aliments épicés pour en adoucir le goût. Miel Le miel étant produit par les abeilles, il ne peut être utilisé dans un régime végan. Un bon substitut est le sirop d’agave, 100% végétal, qui est plus sucré que le miel ; on peut donc en utiliser moins. Pressez la bouteille pour arroser votre porridge ou vos crêpes, ou pour cuisiner. Le sirop d’érable est un autre délicieux substitut du miel, avec un léger goût de caramel, ce qui le rend parfait pour les desserts et les biscuits. Œufs Vous pensez que cuisiner sans œufs vous interdira à jamais gâteaux, muffins, crêpes, mayonnaise et crème anglaise ? Étonnamment, il n’est rien. Il est possible d’acheter des substituts des œufs dans les magasins de produits diététiques. Cependant, pour certaines recettes sur ce site, les œufs ont remplacé par du vinaigre de cidre ou du jus de citron dans les gâteaux ou les muffins, et par de la levure chimique pour les crêpes. Vous serez surpris de voir combien ces recettes sont délicieuses et faciles à réaliser. Pour une sauce crémeuse de type mayonnaise, on peut utiliser du tofu soyeux, mélangé à du jus de citron ou à un trait de vinaigre. Options véganes saines Étant donné que les céréales, les légumineuses et les graines sont les principales sources de protéines dans le régime végan, il paraît logique d’utiliser au mieux leur potentiel considérable. Céréales complètes et lentilles Les céréales complètes contiennent plus de fer et de vitamine B, et elles sont plus riches en fibres et en protéines que les céréales raffinées ; elles sont donc préférables dans un régime végan. Les céréales telles que le quinoa, le boulgour, l’orge et l’épeautre ajoutent un goût de noix et beaucoup de texture aux plats tels que les risottos, les salades et les farces pour légumes. Elles sont aussi très pratiques pour épaissir les soupes et les plats mijotés afin de les rendre plus nourrissants. Les lentilles, bourrées de protéines, font des plats mijotés riches et roboratifs, des soupes, mais aussi des salades, ou servent d’accompagnement. Les lentilles brunes et vertes fardent leur forme une fois cuites, elles sont bonnes pour les salades et les farces. Les lentilles corail se délitent en purée en cuisant, et de fait, sont un épaississant idéal pour les soupes et les plats mijotés. Graines Toutes petites, les graines n’en sont pas moins pleines de protéines, de fibres, de fer, de vitamines et d’acides gras oméga-3. Il ne faut donc pas se priver de les parsemer sur les salades, le riz pilaf, les risottos et les céréales du petit déjeuner, mais aussi de les incorporer à la pâte à pain et aux muffins. Les graines de chia, de sésame, de courge, de tournesol, de chanvre et de lin doré sont toutes des amplificateurs de goût et de valeur nutritive. Lisez les étiquettes alimentaires Lorsque vous faites vos courses, cherchez le label végan ou des produits dont l’emballage atteste qu’ils sont destinés à un public végan. Si vous n’êtes pas sûr qu’un produit soit végan, vérifiez la liste des ingrédients. S’il contient l’un des ingrédients de la liste qui suit, alors, le produit est impropre : gélatine (fabriquée à partir des os de porc miel petit-lait (liquide obtenu après caillage du lait cochenille (un colorant rose provenant d’insectes écrasés) succédané de viande Quorn (les subtituts de viande sont adaptés au régime végétarien, mais ils contiennent des œufs), sauce Worcestershire (contient des anchois) sauce de poisson thaïe (faite à base de poisson et de crustacés séchés fermentés) pâte de curry thaïe (contient généralement de la sauce de poisson) viandox (sauce faite à partir de viande de bœuf) ghee dans les currys et dans les pains naan (le ghee est du beurre clarifié) Ingrédients non végans cachés Les produits suivants requièrent une attention particulière, car ils peuvent être trompeurs. Les pâtes, surtout fraîches : vérifiez qu’elles soient sans œuf. Les nouilles : évitez celles aux œufs et préférez les nouilles de riz le chocolat noir nature : il peut contenir des traces de lait la bière, le vin et le cidre : certains sont filtrés avec des produits d’origine animale. Nombre de vue 989

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Adopter un régime végan sain

Adopter un régime végan sain

Suivre un régime alimentaire fondé uniquement sur les plantes en excluant toute alimentation animale et produits dérivés n’a jamais été aussi simple et n’est plus un choix excentrique réservé à quelques marginaux. La plupart des grands supermarchés et des magasins diététiques vendent une large sélection de laits, crèmes et pâtes à tartiner sans lait, de même que des graines et des céréales complètes. Ainsi, vous pouvez facilement trouver tous les ingrédients nécessaires en faisant vos courses. Que vous envisagiez de devenir végan, que vous soyez végan depuis des années ou que vous prévoyiez de cuisiner pour un ami ou un membre de votre famille végan, nous espérons que vous trouverez l’inspiration pour chaque occasion parmi ces recettes faciles. Exemptes de tout produit animal, ces recettes s’adressent également à ceux qui souffrent d’intolérance ou d’allergie aux produits laitiers et/ou aux œufs. Adopter un régime végan sain  Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir adopter un régime végan, soit pour des raisons de santé, soit par souci du bien-être animal, et ce changement peut être introduit et adopté progressivement. Vous pouvez commencer une semaine par mois, puis augmenter votre régime végan petit à petit jusqu’à trouver votre zone de confort, ou bien décider de devenir végan tout de suite. Vous pouvez aussi suivre ces préceptes pour perdre du poids. En effet, c’est un régime riche en céréales complètes et en fibres, grâce aux fruits et aux légumes, avec lequel vous vous sentirez rassasié et serez moins tenté de grignoter entre les repas. La clef du régime végan est de consommer des aliments variés en incluant des fruits, des légumes, des légumes à feuilles, des céréales complètes, des fruits à coque, des graines et des légumineuses, et en composant toujours des assiettes pleines de couleurs ; cela indiquera que vous êtes sur la voie d’un très bon équilibre nutritionnel. Un régime végan n’est toutefois pas privé de friandises. Pour un régime végan équilibré, les principaux nutriments se trouvent dans les aliments suivants. Protéines Le soja est la meilleure source de protéines, car il contient les principaux acides aminés dont le corps a besoin. Le tofu, produit à partir de germes de soja fermentés, est un bon substitut de la viande. Il peut faire partie de plats mijotés ou sautés, être grillé et mariné, ou bien encore être émietté pour remplacer avantageusement les œufs brouillés. D’autres aliments tels que les petits pois, les éclamames (fèves de soja) les haricots, les cacahuètes, les pois chiches, les céréales telles que le quinoa et le blé, les noix et les graines sont autant d’autres bonnes sources de protéines. Vitamine B12 Présente dans l’extrait de levure, elle est également ajoutée dans de nombreuses céréales pour le petit déjeuner ainsi que dans les laits végétaux. Calcium Il est ajouté aux laits végétaux et on le trouve dans les légumes verts, les céréales complètes et le pain. Vitamine D Elle est nécessaire à l’absorption du calcium. Notre corps fabrique sa propre vitamine D à partir de la lumière du soleil, c’est la raison pour laquelle il est important de sortir marcher en plein air chaque jour si possible. On la trouve aussi dans les margarines et pâtes à tartiner sans produits laitiers auxquelles elle est ajoutée. Fer Les lentilles, le tofu, les haricots secs, les pois chiches, le quinoa et les fruits secs (abricots secs, figues séchées et pruneaux) sont de bonnes sources de fer. Acides gras oméga 3 On les trouve habituellement dans les poissons gras, mais on peut les trouver aussi sous forme végétale dans les légumes verts à feuilles, les noix et les huiles de graine de lin, d’olive, d’avocat, d’arachide et de colza. Se faciliter la vie En ayant toujours un placard garni d’une grande variété de haricots et tomates en conserve, de céréales complètes, de graines, de fruits à coque et d’huiles et un congélateur rempli de légumes et de fruits, vous garderez facilement des habitudes alimentaires saines en faisant peu d’efforts. L’achat des fruits à coque, des graines et des huiles peut rapidement atteindre un certain coût, assurez-vous donc de respecter les dates de péremption ; les huiles notamment se détériorent et deviennent rances après un certain temps. Si vous achetez en grosses quantités, sachez que l’on peut congeler les fruits à coque et les graines pour en préserver la fraîcheur. Le fait de torréfier les graines et les fruits à coque dans une poêle sans matières grasses les rafraîchira et en fera ressortir le goût. Les haricots et les tomates en boîte ont une longue conservation et gardent presque autant de valeur nutritionnelle que les haricots secs et les tomates fraîches. Ayez donc toujours une bonne réserve de ces produits pour pouvoir rapidement concocter un chili, une soupe ou une sauce pour les pâtes. Les légumes surgelés permettant d’économiser beaucoup de temps, car ils sont déjà prêts à l’emploi, épluchés et coupés. Parce qu’ils sont congelés quelques heures après la récolte, ils contiennent souvent plus de vitamines que les légumes frais, surtout s’ils ont traîné quelques jours. Les herbes fraîches apportent instantanément de la couleur aux céréales cuites. Elles ajoutent aussi de la fraîcheur aux salades et du goût aux vinaigrettes et aux sauces. Si vous le pouvez, faites pousser vos propres herbes, elles seront ainsi beaucoup moins onéreuses et à portée de main dès que vous en aurez besoin. Elles ne prennent pas beaucoup de place et même un rebord de fenêtre suffira pour les cultiver. Arrosez-les suffisamment et elles dureront très longtemps. Si vous les achetez, vous pouvez en ciseler les restes et les congeler dans des bacs à glaçons en les recouvrant d’eau ou d’huile. Il vous suffira, ensuite, de démouler vos cubes d’herbes directement dans la poêle lorsque vous en aurez besoin. Nombre de vue 633

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Un peu de douceur

Un peu de douceur

Sucre végan : Vous vous demandez peut-être “Mais… qu’est-ce qui n’est pas végan exactement dans le sucre ?” Eh bien, sachez que la plupart des sucres sont raffinés à l’aide de charbon d’os animal. Beurk. Il vaut donc mieux s’en tenir au sucre biologique, certifié végan de préférence. Idem pour la cassonade. Sucre en poudre : Aussi connu sous le nom de sucre glace. Étant donné qu’il ne s’agit ni plus ni moins que de sucre ordinaire réduit en poudre, essayez de vous en procurer une variété biologique et certifiée végane. Si vous évitez le sucre, vous pouvez utiliser du xylitol ou de l’érythritol en poudre à la place, qui peuvent être confectionnés tout simplement en passant du xylitol ou de l’érythritol au mixeur. (assurez-vous au préalable que le mixeur est parfaitement sec, une seule goutte d’eau pourrait ruiner tous vos plans).   Sucre de noix de coco : Un édulcorant sec. Comme il possède un faible indice glycémique, il n’affecte pas autant le taux de sucre sanguin que le sucre ordinaire et sa saveur est vraiment agréable. À utiliser à la place du sucre ou de la cassonade dans presque toutes les recettes. Édulcorants liquides : Le sirop d’érable est mon édulcorant liquide de référence, mais le sirop d’agave fait aussi l’affaire. Dans certains cas, le nectar de coco, la mélasse ou le sirop de riz brun peuvent aussi donner de bons résultats.   Dattes : Je les surnomme les “pépites magiques”. Bon, en fait, c’est la première fois que j’utilise cette expression, mais elle leur va à merveille. Ces petits fruits secs sont une excellente façon d’apporter une saveur sucrée, naturelle et saine à vos préparations. Vous pouvez les mixer avec de l’eau ou du lait végétal pour obtenir un sirop de dattes épais et, en ajoutant du sel, vous obtenez un fabuleux substitut au caramel. Mixées avec des noix, elles permettent aussi d’obtenir des fonds de tarte ridiculement délicieux. Elles font aussi de succulents en-cas à grignoter : si vous avez quelques dattes sous la main, ouvrez-en une, ôtez le noyau, étalez un peu de beurre de cacahuètes au centre, et dégustez. Vous ne le regretterez pas.   Mélasse noire : cette variété de mélasse épaisse et très foncée possède une saveur vraiment prononcée. Il en suffit de très peu pour parfumer vos préparations, des sauces au porridge. En plus, ce truc est extrêmement riche en nutriments, surtout en fer. Juste 2 cuillerées à soupe contiennent environ 13 % des apports recommandés en fer.     Nombre de vue 490

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