le végétarisme (conseils et recettes)

Chèvre frais, coulis d'herbes à la bière et petits légumes du soleil

Chèvre frais, coulis d’herbes à la bière et petits légumes du soleil

Préparation 60 minutescuisson 15 minutespersonnes 8 à 10   Ingrédients : 10 cl de crème fraîche + 20 cl de crème fraîche fouettée 25 cl de bière blonde 1/4 de botte d’oseille 1/4 de botte de cresson 1/4 de botte de persil 500 g de fromage de chèvre 1 gousse d’ail haché 3 cl + 6 cl d’huile d’olive 1 bouquet de ciboulette 2 aubergines 200 g de poivrons (plusieurs couleurs) sel poivre Préparation : Pour préparer le coulis d’herbes, mixer la crème, la bière blonde, l’oseille, le cresson et le persil. Saler, poivrer et réserver au frais. Mélanger le fromage de chèvre, l’ail haché, la crème fraîche fouettée, l’huile d’olive et le bouquet de ciboulette. Saler et poivrer. Réserver au frais. Couper 2 aubergines en tranches. Les saler et les réserver 15 à 20 minutes puis les tremper dans de la pâte à frire et les faire frire. Les réserver au chaud. Couper les poivrons en fines lamelles et les passer à la poêle avec de l’huile d’olive tout doucement. Saler, poivrer et réserver au chaud. Sur chaque assiette, disposer 1 cuillère à soupe bien pleine de fromage entre 2 tranches d’aubergines frites chaudes. Parsemer les poivrons chauds autour du fromage et dessus. Disposer le coulis d’herbes de part et d’autre du fromage et servir immédiatement. Nombre de vue 543

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Pain indien

Pain indien

Pour 6 personnespréparation 20 minutescuisson 10 minutes Ingrédients : 300 g de farine 1 yaourt nature 1 pincée de sel 1/2 sachet de levure chimique 1 cuillère à soupe d’huile un peu d’eau tiède 6 portions de “vache qui rit” Préparation : mélanger la farine avec le sel, la levure, l’huile et le yaourt travailler la pâte et ajouter si besoin est un peu d’eau tiède afin d’obtenir une pâte molle laisser reposer 10 minutes Séparer la pâte en 6 part et aplatir chaque part pour en faire une galette aussi grande que possible Tartiner la “vache qui rit” sur une demi galette. Replier l’autre moitié. Faire cuire au four chaud pendant environ 10 minutes.   Nombre de vue 676

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Champignons farcis à la coriandre

Champignons farcis à la coriandre

Pour 4 personnescuisson 30 minutespréparation 30 minutes Ingrédients : 8 gros champignons de Paris à farcir 80 g de flocons d’avoine 3 poivrons rouges 4 oignons blancs avec leurs tiges 1 cuillère à soupe de coriandre en poudre 10 cl de crème fraîche 2 cuillères à soupe d’huile d’olive  sel poivre Préparation : Éplucher et épépiner les poivrons. Les couper en dés. Hacher les pieds de champignons éplucher et émincer les oignons  faire préchauffer le four à 150°C Faire rissoler tous les légumes précédemment préparés dans une sauteuse avec l’huile. Saler et poivrer Laisser cuire 5 minutes à feu doux. Ajouter la coriandre, les flocons d’avoine et la crème Déposer les champignons dans un grand plat et répartir la farce dans chacun d’entre eux. Faire cuire 25 minutes. Nombre de vue 649

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L'enfant végétarien

L’enfant végétarien

Le but n’est de faire ni l’apologie ni le procès du végétarisme, mais de faire la synthèse du pour et du contre réel ou supposé concernant un régime particulier, à savoir le régime végétarien. En matière d’alimentation, l’enfant est un cas à part. Ses goûts et sa culture culinaire dépendent principalement de ceux de ses parents, de ses frères et sœurs et de ses camarades, à la cantine par exemple. L’apprentissage se fait repas après repas, en fonction de la charge affective mise par la famille autour des mets et de la table. Cet investissement alimentaire depuis la plus tendre enfance conditionnera les goûts et les conduites ultérieurs. Ainsi que se transmettent, de génération en génération, certaines recettes, mais aussi certains comportements. L’alimentation est bien plus qu’un comptage de calories, qu’un savant dosage de vitamines ou de minéraux, qu’une proportion de protéines, de lipides ou de glucides. Elle est le point de rassemblement de la famille, de la communauté, de la société, autour de rites ancestraux et d’une culture propre à chacune d’entre elles. Les Français mangent différemment des Italiens, des Chinois, des Anglais ou des Mexicains. Et, il faut ajouter à cela les rites religieux qui imposent ou excluent tel ou tel aliment. Certaines convictions personnelles peuvent aussi entrer en ligne de compte. Il en va ainsi du végétarisme. L’homme est naturellement omnivore. C’est-à-dire qu’il peut se nourrir de viande, de fruits et de légumes. Sa dentition et son système digestif lui permettant cette adaptation le sauvegardent ainsi plus facilement de la famine. Malgré l’exclusion de certains aliments, la variété de l’alimentation permet à l’individu de subsister dans des situations standardisées où la nourriture ne manque pas et où elle est suffisamment abondante pour que l’organisme y puise les quantités nécessaires et suffisantes à son bon fonctionnement. À l’heure actuelle, on parle d’apports quotidiens recommandés (AQR) pour les vitamines et les minéraux, car on s’est rendu compte que certaines situations provoquent des carences dans ce domaine. Et, les carences peuvent à leur tour provoquer des maladies. On connaît, par exemple, le scorbut en cas de manque de vitamine C, ou l’anémie quand la vitamine B12 ou le fer sont déficients. L’enfant est un être particulièrement fragilisé face à des conduites alimentaires inadéquates : ⇔ il est vulnérable dans le ventre de sa mère. La grossesse impose un accroissement de la ration alimentaire d’environ 200 kcal par jour. Les besoins en vitamines (B9 – B12 – D) et minéraux (fer, calcium) sont, eux aussi, augmentés durant cette période. ⇔ il est vulnérable durant la petite enfance où des comportements inadaptés peuvent engendrer une obésité ultérieure ou une prédisposition à des maladies osseuses ou métaboliques. ⇔ Il est vulnérable durant l’enfance pendant laquelle il grandit, utilisant pour sa croissance à plein régime un grand nombre de macronutriments (protéines, glucides et lipides), mais aussi des micronutriments (vitamines et minéraux). Ses besoins sont encore accrus lors des examens scolaires ou des exercices physiques importants. Bon nombre d’enfants sont en effet inscrits dans des clubs sportifs et font de la compétition, parfois de haut niveau. ⇔ il est vulnérable durant l’adolescence où le mimétisme et l’envie de ressembler à telle ou telle “star” l’amènent à sauter des repas ou à diminuer occasionnellement dangereusement son alimentation, créant ainsi de graves carences. L’enfant est vulnérable parce que désarmé face à la pression de son entourage. Ce n’est pas lui qui choisit son alimentation, mais ses parents. Ce n’est pas lui qui choisit son alimentation, mais ses parents. Ce n’est pas lui qui dicte ses goûts. De temps en temps, à tort, mais heureusement très souvent à raison, ses parents les lui imposent. “mange, c’est bon pour toi”, “tu ne peux tout de même pas ne manger que des pâtes et des frites”, etc. C’est pourquoi, lorsque certaines pratiques sont parfois trop exclusives, parfois mal comprises, elles sont susceptibles de mettre en danger le bien-être physique ou moral de l’enfant. De même que l’enfant doit bénéficier d’un certain temps de sommeil, il a besoin d’une alimentation diversifiée. Si l’on retire certains aliments — sans en préjuger du bien fondé -, il faut les remplacer par d’autres denrées sous peine de créer des carences. ⇔ Le premier consiste à assurer la croissance de l’enfant dans de bonnes conditions, tant au niveau de son squelette que de son cerveau, mais aussi à prévenir les maladies dues à des troubles métaboliques (athérosclérose, diabète, obésité) ou à des carences (fer, calcium, acides gras essentiels, pour ne citer que les principales). Nous devinons ainsi que derrière l’alimentation se profile une notion plus générale : la santé. ⇔ Le second tend à épouser le désir d’alimentation végétarienne des parents, tout en sachant qu’un tel régime ne peut s’effectuer qu’à partir du moment où l’enfant est suffisamment grand pour bénéficier d’une alimentation diversifiée.       Nombre de vue 834

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Mozzarella in carrozza

Mozzarella in carrozza

Pour 4 personnespréparation environ 20 minutes (temps de cuisson en sus)par portion environ 434 kcal / 1823 kjprotides : 20 glipides : 29 ggraisses : 22 g Ingrédients : 8 tranches de pain de mie 2 boules de mozzarella (environ 125 g) 4 cuillères à soupe de pesto sel poivre 4 œufs 4 cuillères à soupe de lait 8 cuillères à soupe de farine 4 cuillères à soupe de parmesan râpé 10 à 14 cuillères à soupe d’huile d’olive Préparation : Retirer la croûte du pain de mie. Égoutter la mozzarella, puis découper les boules en rondelles d’environ 0.5 cm. Tartiner quatre tranches de mie avec 1 cuillerée à café de pesto, puis ajouter une rondelle de mozzarella. Saler et poivrer à volonté. Recouvrir chaque sandwich d’une tranche de pain de mie. Battre les œufs avec le lait, saler et poivrer. Tremper chaque sandwich dans le mélange, de chaque côté. Mélanger la farine et le parmesan dans une assiette, puis y tremper les deux faces des sandwiches. Faire dorer les sandwiches dans de l’huile d’olive chaude pendant approximativement 4 minutes de chaque côté en les retournant prudemment. Servir les sandwiches chauds avec du mesclun et des tomates cerise assaisonnés de vinaigrette aux herbes. Nombre de vue 820

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Brochettes de tomates et mozzarella

Brochettes de tomates et mozzarella

Pour 4 personnes préparation 15 minutespar portion environ 205 kcal / 861 kjprotides 5 glipides 7 ggraisses : 30 g Ingrédients : 350 g de tomates cocktail 1 bouquet de basilic 200 g de billes de mozzarella 1 cuillère à soupe de vinaigre de balsamique blanc sel poivre 1 gousse d’ail 2 cuillères à soupe de pesto Préparation : Laver les tomates cocktail et les sécher. Laver le basilic, le sécher et l’effeuiller. Égoutter la mozzarella. Piquer sur une brochette, en les alternant, les tomates, le basilic et les billes de mozzarella. Pour la vinaigrette, mélanger le vinaigre balsamique avec du sel et du poivre fraîchement moulu. Éplucher la gousse d’ail, la hacher et l’incorporer au vinaigre. Incorporer l’huile d’olive et le pesto en battant avec un fouet. Tremper les brochettes dans la vinaigrette avant de les servir avec du pain ciabatta. Nombre de vue 724

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