Les raisons du véganisme
le véganisme

Les raisons du véganisme

Les raisons pour lesquelles le véganisme est le meilleur choix pour tous les êtres vivants sur la planète

La raison principale pour devenir végétalien : les droits des animaux

Les opinions qui expliquent pourquoi on devrait adopter un régime à base de plantes, en plus de vivre un style de vie sans cruauté, divergent d’une personne à l’autre. Quoique certains disent que l’on voit de plus en plus de gens devenir végétaliens, d’autres se plaignent que trop peu de celles et ceux qui adoptent ce régime le font pour la bonne raison. Certes, voir tout le monde changer leur mode de vie au complet serait idéal ; après tout, ce ne sont pas seulement que les animaux de ferme qui souffrent un martyre incroyable. Donc, une partie de la population végane le fait pour eux. Et, ils ont tout à fait raison.

Voyez-vous, certaines personnes qui deviennent végétariennes le font pour ne pas nuire à leur karma. En effet, tuer, c’est mal, surtout si l’on peut se nourrir adéquatement (voire mieux) sans viande. D’autres pensent que la souffrance animale se limite à ceux qui doivent mourir pour nous parce qu’ils n’aiment pas les forcer à faire un tel sacrifice. C’est sûr que l’on ne peut pas nier que tuer est à éviter, mais qu’en est-il des autres sortes de souffrances ?

Prenez, par exemple, le concept de l’élevage. On force les animaux à se reproduire pour notre bien ,et souvent (presque toujours) on le fait pour recevoir des bénéfices financiers ou un revenu quelconque. on ne le fait pas seulement pour produire du poulet et du bœuf, pour consommer un repas, mais aussi pour recevoir des œufs, du lait et du miel. Ces pauvres bêtes passent leurs vies entières enfermées dans des cages trop petites pour elles, fréquemment sans pouvoir bouger, et parfois qui leur blessent les pattes. Elles reçoivent moins de nourriture que ce qu’elles ont besoin et ne mangent pas ce que leur système digestif est en mesure de traiter. Leur socialisation se limite au temps passé dans la même cage qu’une autre aussi malheureuse qu’elle ou en tant que voisine, et puisqu’elles ne peuvent pas vraiment jouer ensemble comme elles le feraient dans la nature, elles finissent de temps en temps par se battre dû à la frustration qui vient avec le manque de liberté. Certaines en deviennent même folles. Avoir vécu dans l’environnement approprié à leur espèce, elles auraient chassé ou consommé les aliments qui leur conviennent, couru, volé et socialisé normalement. En fait, les garder et les maintenir enfermées font d’elles des esclaves, même si on les traite le mieux possible et elles semblent heureuses. Leur vraie place, leur habitat véridique, c’est dans un endroit sauvage, et non dans un enclos ou une cage, à notre service, sous notre emprise et notre domination. Même si l’on ne les tue pas, elles nous “appartiennent” et un autre être vivant ne peut pas avoir le même statut qu’un meuble ou une propriété.

De plus, on ne les emprisonne pas seulement pour en faire notre nourriture. Il y a parfois plus d’une raison pour s’en servir et les garder en cage. Par contre, la plupart des industries ne se préoccupent que d’un seul objectif chacune. Pour ce qui en est des manières d’en profiter, il y a, entre autres choses, l’industrie du textile et des vêtements (le cuir, la fourrure, la laine et la soie) ; les pharmaceutiques (les tests en laboratoires qui, soit dit en passant, ne servent pas puisque les humains ne réagissent pas de la même manière aux médicaments que les animaux). Les produits de beauté (autant les ingrédients que les tests en laboratoire) ; les zoos où ils sont supposés être enfermés pour éduquer le public (encore une fois, le but n’est pas atteint) ; les cirques, qui doivent les battre pour les brimer assez pour qu’ils se soumettent à l’entraîneur ; les producteurs d’animaux de compagnie, comme les chiens et les chats, où les mêmes parents sont enfermés dans de petites cages sales, nourris beaucoup moins que ce qu’ils ont besoin, ne reçoivent pas de traitement vétérinaire et que les mamans donnent naissance tellement souvent qu’elles en deviennent épuisées (physiquement et mentalement) ; les animaux qui travaillent sur une ferme, comme les chevaux qui sont battus pour les soumettre ; les chevaux de course, qui sont jetés ou vendus dès qu’ils ne font plus de profits pour leur propriétaire ; et ainsi de suite. La liste pourrait continuer longtemps.


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