Spécificités (conseils et recettes)

Transformez les légumes en gratins, flans et terrines (sans gluten)

Transformez les légumes en gratins, flans et terrines (sans gluten)

Pour remplacer le fromage râpé ou la chapelure sur un gratin, saupoudrez en fin de cuisson du plat avec une poudre de noisette ou d’amande mélangée à du persil ou du basilic haché finement. Si vous aimez le côté croquant, parsemez de petits flocons (quinoa, amarante, teff) et, au sortir du four, ajoutez un filet d’huile d’olive ou de sésame. Le goût de la noix de cajou relève bien les plats où l’on glisse habituellement du fromage râpé (soufflé, gratin…), utilisez-la sous forme de crème liquide dans les terrines et en poudre sur les gratins. Pour donner du corps à une terrine de légumes ou à un soufflé, choisissez des semoules fines (riz, millet) ou des flocons de céréales (riz, quinoa, sarrasin, millet). L’agar-agar est l’alternative idéale à l’œuf dans les flans ; le résultat est léger et met en valeur la saveur du légume. J’ajoute souvent une pincée de curcuma pour donner une couleur jaune à ces garnitures de quiche sans œufs.       Nombre de vue 799

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Concocter des tartes, des quiches et des crumbles de légumes

Concocter des tartes, des quiches et des crumbles de légumes

Les poudres d’oléagineux (amande, noix de cajou, noisette) offrent à la fois du goût et une texture qui peut remplacer le fromage (type parmesan) dans les crumbles salés. Pour un effet plus croquant, utilisez des amandes effilées ou des oléagineux concassés. Pour remplacer le fromage dans un crumble ou une quiche, donnez du goût grâce à la purée de noix de cajou. Mélangez-la avec une farine de riz pour obtenir une texture sablée à saupoudrer sur un crumble ou transformez-la en crème liquide pour l’ajouter dans le mélange aux œufs d’une quiche aux légumes.       Nombre de vue 569

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Elaborer fougasses, club sandwich et cakes salés

Elaborer fougasses, club sandwich et cakes salés

À l’apéritif, pour accompagner les repas ou composer des assiettes complètes, voilà des solutions gourmandes qui remplaceront très souvent le pain. La farine de pois chiches, les fines herbes et les petites graines (tournesol, pavot, sésame, carvi, cumin…) sont des atouts pour donner du goût à ces recettes à base de farine de riz. Et, pour retrouver le moelleux d’une fougasse, la solution se trouve en associant farine de riz et poudre d’amande       Nombre de vue 580

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5 astuces pour des desserts magiques antidiabète

5 astuces pour des desserts magiques antidiabète

C’est décidé, vous ne laisserez plus votre culpabilité et votre crainte du déséquilibre glycémique confisquer votre dessert. Ni ceux de votre tendre mari, de vos charmants bambins, de vos ados affamés, si vous avez toutes ces bouches à nourrir à la maison. Mais, comment vous (et leur) faire plaisir tout en restant parfaitement dans “les clous” en cas de diabète ? Voici 5 astuces à garder en tête quand on s’attaque aux desserts magiques antidiabète. Astuce N°1 : Restez simple, naturel Ne vous ruez pas sur toutes les nouveautés. Certaines sont valables, d’autres, bof ! Par exemple, des édulcorants débarquent régulièrement, à grand renfort médiatique, comme la stévia, le xylitol ou autres poudres soi-disant géniales. Pas toujours indispensables, ni bonnes. Vous ne les trouverez d’ailleurs pas dans nos recettes. Restez fidèle au naturel et aux “valeurs sûres” : le sirop d’érable, le miel, ce sont de “vrais” aliments. Les poudres sucrantes, qu’elles soient d’origine (notez bien le “d’origine”) naturelle ou non, n’en sont pas vraiment. Astuce N°2 : Rajoutez des fruits Partout ou presque ! Avec les glaces, le chocolat, les gâteaux, les tartes… Quand on mange plus de fruits, on mange moins d’autre chose. Astuce N°3 : Jouez sur les textures et les surprises sensorielles Une pincée de graines de pavot, de sésame ou de lin ici (et hop ! des bons gras), un voile de cannelle (la reine de l’équilibre glycémique), quelques amandes effilées ou cerneaux de noix là (du magnésium, des bons gras et des fibres), du son d’avoine dans cette pâte à gâteau et des flocons d’avoine dans cette pâte à biscuits (anticholestérol et coupe-faim), de l’agar-agar (gélifiant minceur) en guise de farine, d’œuf et de lait… Ce n’est quasiment rien, mais ça change tout. Astuce N°4 : Focalisez sur l’IG (index glycémique) L’IG est un outil servant à mesurer l’impact des aliments renfermant des sucres (“lents” ou “rapides”) sur l’organisme. Il permet de distinguer ceux qui obligent le corps à produire beaucoup d’insuline, l’hormone qui fait entrer le sucre dans les cellules. Plus un aliment fait grimper notre taux de sucre dans les cellules. Plus un aliment fait grimper notre taux de sucre dans le sang, plus son IG est élevé, plus nous devons fabriquer d’insuline. Et, plus, il faut s’en méfier, surtout lorsque l’on est diabétique. Les aliments à IG élevé sont clairement impliqués, sur le long terme, dans l’apparition (et l’aggravation) du diabète, des maladies cardiaques et du surpoids. Ils augmentent le taux de (mauvais) cholestérol et favorisent le stockage des graisses. Tous les aliments contenant du sucre sous une forme ou une autre sont concernés par l’index glycémique, alors évidemment, les desserts sont aux premières loges. Astuce N°5 : soyez civilisé Préparez de jolis desserts, en petites portions, soignez la présentation, on mange autant avec les yeux qu’avec la bouche. Si possible, pas avec les doigts, car alors, on engloutit façon Cro-magnon, et, ça, ce n’est jamais bon. Pensez aux repas dans les grands restaurants : toujours des petites portions, mais on n’a jamais faim ensuite. Être rassasié n’est donc pas une question de quantité, mais une question de qualité, de plaisir et de raffinement. Même poser une simple feuille de menthe sur un ramequin peut suffire : l’important est de maîtriser ses pulsions, de se servir calmement, de s’extasier sur le contraste des couleurs même si l’on est seul : “C’est moi qui l’ai fait” (justement, vous y avez passé un peu de temps, prenez le temps de déguster !). On n’est pas des bêtes.   Nombre de vue 571

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Le plaisir c'est la santé - diabète -

Le plaisir c’est la santé – diabète –

L’être humain est physiologiquement conçu pour le plaisir. Nous sommes admirablement équipés pour gérer et traiter les informations multi-sensorielles. Prenons une part de gâteau au chocolat, de fraisier ou une mousse au citron (ou remplacez par votre péché mignon). Imaginez-le, faites-en le tour, observez-le. Humez-le. Croquez-le, enfin. Le goût, l’odorat, le toucher, la vue, l’ouïe même, nous, nos sens réunissent une somme d’informations pour nous permettre de l’apprécier pleinement. Tout cela pourquoi ? Parce que le plaisir est vital, tout simplement. Sans gourmandise, on ne penserait pas à manger. Sans plaisir sexuel, l’espèce se serait éteinte depuis longtemps. Sans endorphines euphorisantes, personne n’irait taper dans une balle de tennis ou courir des heures sur une ligne blanche, dans un stade, le sport n’existerait pas. Le plaisir existe, car il sert l’organisme, il est au service du corps. A nous de savoir le dompter, de ne pas le laisser nous tyranniser ni imposer sa loi. Pas question de ne manger que du sucré, mais les desserts, c’est dans nos gènes : personne ne peut lutter contre ! On est déjà souvent privé de tout un tas de choses dans la vie, il ne manquerait plus que l’on soit privé de dessert. Le temps de la culpabilité mal placée n’est plus. Le péché de gourmandise est, au contraire, une question de survie. Et, puis, d’abord, cela rime à quoi exactement tous ces interdits ? Que l’on ne dévore pas trois parts de tatin à la crème à la fin de chaque repas, tout le monde le conçoit. Mais, en quoi une mousse au citron, une panna-cotta légère ou un fraisier “poids plume” mettent votre glycémie ou votre silhouette en péril ? Votre esprit critique et affûté perçoit de lui-même la différence et se refuse à diaboliser une innocente petite bouchée, fût-elle sucrée. Et, le meilleur des plaisirs étant celui que l’on partage, faites-en profiter vos proches, vos amis. On a tous droits à quelques grammes de douceur dans ce monde de brutes. La gourmandise selon les français Quand il s’agit de manger, les français ne font rien comme les autres. Et même si d’autres pays proposent de remarquables cuisines, le monde entier continue d’envier nos chefs, notamment nos pâtissiers. Dans l’hexagone, la gourmandise est érigée au niveau de patrimoine culinaire ! Les français la considèrent comme “mi-ange mi-démon”. Elle est symbolisée par “le sucré”, “le chocolat”, “se faire plaisir”, “la tarte aux pommes”, “les gâteaux”. Des plaisirs simples mais divins. Le plaisir, c’est la minceur 100% des nutritionnistes sont d’accord (pour une fois) : aucun régime n’est envisageable sans plaisir. Aucun. Exprimé autrement : 100% des régimes échouent si l’on s’interdit tout plaisir. Il est rigoureusement impossible de perdre du poids (et de rester mince) en se privant systématiquement des douceurs. Car un jour vient, inexorable, où la somme des frustrations accumulées, repas après repas, est plus forte. On craque et l’on avale n’importe quoi, en énormes quantités, on rajoute une couche de culpabilité, on met le tout au four pour gratiner. La parfaite combinaison minceur perdante. Au contraire, profiter des petits plaisirs sucrés, en maîtrisant parfaitement les apports caloriques et en jouant sur les textures, les ingrédients et les arômes 100% naturels, est la seule et unique façon de retrouver la ligne et de la garder. En complément d’une alimentation équilibrée, bien entendu. Parce que c’est bien joli de dire “terminez votre repas par un yaourt ou un fruit”, mais au bout de quinze jours, on a des envies de paris-Brest, de quatre-quarts baignant dans la crème anglaise, de crème au beurre. Alors qu’en s’octroyant régulièrement une part de Gâteau aux abricots et au son d’avoine, un Trifle aux fraises, des chips de pomme, une crème onctueuse au chocolat, les sens sont comblés, vous aussi. Aucun risque de dérapage pantagruélique pour se venger. 40 desserts qui tuent Il y a quelques temps, le Daly Best listait les 40 desserts américains les plus mortels (les plus caloriques, riches en mauvaises graisses, sel et sucre) proposés au restaurant ou au fast-food. Super-interdits aux diabétiques, et plus que déconseillés à tout le monde en fait ! Voici les gagnants. le cookie aux pépites de chocolat avec glace + chantilly, dont la part culmine quand même à 1660 calories, 50 g de graisses saturées (celles qui bouchent les artères), 1020 mg de sodium (le sel, dont il faut aussi absolument maîtriser la consommation lorsqu’on est diabétique), et 224 g de sucre (idem bien sûr) Monstrueux ! Le cheesecake ‘New York” avec sa sauce caramel (1650 calories, 54 g de graisses saturées, 980 mg de sodium, 179 g de sucre). Même exceptionnellement, évitez ce genre d’aberration. Le gâteau au chocolat nappé (1580 calories, 24 g de graisses saturées, 1420 mg de sodium, 147 g de sucre). Sans commentaire non plus Bien sûr, une ribambelle d’autres mauvais élèves se bousculent aussi au portillon pour figurer dans cette “liste du pire”. Sans surprise, ce palmarès fatal inclut le classique brownie, un dessert à la pomme avec accompagnement croustillant (type crumble) et à l’amaretto, des blondies au beurre, des glaces pantagruéliques recouvertes de toppings divers et variés, des zepoles (biscuits à la ricotta), des tartes au chocolat, un brownie + sunday, des gâteaux au chocolat blanc (ou de toutes les couleurs), le “simple” cookie, le “simple” cheesecake à la framboise, un horrible gâteau au beurre de cacahuètes et chocolats en déco, une tarte aux noix de pécan et chocolat, un gâteau à la carotte, toute une panoplie de desserts de chez Wendys et autres Mc Fleury aux M&M’s ( ou autres toppings) de chez Mc Donald’s, les churros (oui, les mêmes que dans les fêtes foraines chez nous). En plus, servis en portions orgiaques, bien sûr. Si dans l’hexagone nous n’es sommes pas encore “là” (sauf dans certaines enseignes déjà), nos profiteroles, nos babas au rhum et autres bûches de Noël à la crème au beurre ne brillent certainement pas par leur supériorité nutritionnelle. Alors se faire plaisir, oui, mais pas à n’importe quel prix ! Moins de gras, moins de sucre… Plus de bonheur ! Lorsque l’on feuillette les livres de pâtisserie d’il y a vingt ou trente ans, on est frappé par la teneur en sucre, en graisses, en jaunes d’œufs de la plupart des recettes. Et, vous reprendrez bien une louche de crème anglaise ou de frangipane ? Le moins que l’on puisse dire est que, à l’époque, les préoccupations hormonales, la minceur et la cuisine sucrée faisaient trois. Pas étonnant que les médecins interdisaient à leurs patients diabétiques tout dessert, c’était une catastrophe. Si l’on voulait maigrir, on se mettait à la diète, un point c’est tout. Heureusement, les temps changent ! Aujourd’hui, on a le droit d’être gourmand ET de faire attention à sa ligne ET de faire le plein d’antioxydants, de vitamines, de minéraux. Il suffit d’alléger ses classiques, de revisiter les recettes, de retirer un jaune d’œuf ici, de réduire considérablement et même remplacer le sucre là, et le tour est joué. Pour autant, pas question de rogner d’un iota sur la satisfaction gustative. Un dessert léger, oui ; insipide, certainement pas !   Nombre de vue 966

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Mettre de la crème dans une purée ou un velouté

Mettre de la crème dans une purée ou un velouté

Les deux ingrédients que sont le beurre et la crème fraîche peuvent être remplacés par une multitude de goûts et de saveurs grâce aux huiles végétales (carthame, noix, noisette, pavot, olive, tournesol, graines de courge…), aux purées d’oléagineux (amande blanche et complète, noisette nature ou toastée, noix de cajou, sésame blanc ou demi-complet, noix, graines de chanvre, de courge ou de tournesol), à la crème de coco… Et, aux nombreuses crèmes végétales liquides qui, bien que moins grasses, donnent de l’épaisseur et une texture fondante à un velouté ou une purée de légumes       Nombre de vue 649

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